 La section genevoise de la Communauté d’Intérêts pour les Transports Publics (CITraP-GE) relève une divergence entre les objectifs de la politique climatique genevoise et les moyens prévus en matière de mobilité publique à l’horizon 2030 pour y parvenir. Profitant de cette période de bonnes résolutions annuelles et de cette année doublement électorale, la CITraP-GE propose de mobiliser le monde politique autour de 4 suggestions formant chacune un grand projet. Tous les détails dans le communiqué de presse du 14 février 2023 et dans le rapport complet de décembre 2022.
La section genevoise de la Communauté d’Intérêts pour les Transports Publics (CITraP-GE) relève une divergence entre les objectifs de la politique climatique genevoise et les moyens prévus en matière de mobilité publique à l’horizon 2030 pour y parvenir. Profitant de cette période de bonnes résolutions annuelles et de cette année doublement électorale, la CITraP-GE propose de mobiliser le monde politique autour de 4 suggestions formant chacune un grand projet. Tous les détails dans le communiqué de presse du 14 février 2023 et dans le rapport complet de décembre 2022.

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			 Un réalisateur suisse apprend que la ligne ferroviaire de son enfance a fermé. Il entreprend de refaire ce voyage, toujours en train, et cherche à comprendre pourquoi la France abandonne ses lignes régionales. Enfant, Manuel Lobmaier passe ses vacances à Bessèges, dans le Gard. Adulte, il décide alors de revisiter son périple. De Biel, son village natal en Suisse, à Bessèges, le parcours s’étend sur 760 kilomètres. Lobmaier se fixe trois règles: prendre uniquement la ligne la plus proche du tracé le plus direct -la ligne droite-, s’interdire bus et voiture, ne jamais consulter les horaires à l’avance. En revanche, il s’autorise la marche. Il veut comprendre pourquoi, en ces temps de crise écologique, la France abandonne ses lignes de train, le meilleur élève en matière de respect de l’environnement. Lisez le résumé de cette épopée, avec un extrait du film, dans
Un réalisateur suisse apprend que la ligne ferroviaire de son enfance a fermé. Il entreprend de refaire ce voyage, toujours en train, et cherche à comprendre pourquoi la France abandonne ses lignes régionales. Enfant, Manuel Lobmaier passe ses vacances à Bessèges, dans le Gard. Adulte, il décide alors de revisiter son périple. De Biel, son village natal en Suisse, à Bessèges, le parcours s’étend sur 760 kilomètres. Lobmaier se fixe trois règles: prendre uniquement la ligne la plus proche du tracé le plus direct -la ligne droite-, s’interdire bus et voiture, ne jamais consulter les horaires à l’avance. En revanche, il s’autorise la marche. Il veut comprendre pourquoi, en ces temps de crise écologique, la France abandonne ses lignes de train, le meilleur élève en matière de respect de l’environnement. Lisez le résumé de cette épopée, avec un extrait du film, dans 

 La réforme du transport régional de voyageurs, mise en consultation par le Conseil fédéral, pose des jalons essentiels pour la mobilité de demain. Mais le train reste le moyen de transport le plus propre: il serait dommageable que la réforme engagée se traduise par un remplacement de prestations ferroviaires par des services de bus. Analyse du projet par Bernard Wuthrich dans l’
La réforme du transport régional de voyageurs, mise en consultation par le Conseil fédéral, pose des jalons essentiels pour la mobilité de demain. Mais le train reste le moyen de transport le plus propre: il serait dommageable que la réforme engagée se traduise par un remplacement de prestations ferroviaires par des services de bus. Analyse du projet par Bernard Wuthrich dans l’