Noville et Rennaz assommées par les factures du bus 201

OrageDeux articles de 24 heures du 16 octobre 2019 sont consacrés à la desserte par bus de l’Hôpital Riviera-Chablais. Christophe Boillat décrit les factures démesuées envoyées par les VMCV (Vevey-Montreux-Chillon-Villeneuve) aux communes de Noville et Rennaz, tandis que Sabrina Schwob revient sur la fusion possible entre les VMCV et la compagnie ferroviaire MVR (Montreux-Vevey-Riviera) (photo Chantal Dervey). 24 heures du 4 novembre revient sur les négociations en cours.

2 réflexions sur « Noville et Rennaz assommées par les factures du bus 201 »

  1. Et tout ce tintouin – je ne parle pas des vaines tentatives de la CITraP d’obtenir une vraie desserte en TP – toutes ces discussions sur le type de bus (avec caténaires, avec batterie) et l’itinéraire, pour finir avec ces traditionnels bus à combustion, qui de surcroît remplacent un trolleybus sur deux entre Villeneuve et Vevey !

  2. L’article ne précise pas si ces montants sont usuels ou non par rapport à la desserte de 3 bus par heure. Ces communes ne sont pas habituées à devoir financer des TP.

    Malgré ce que l’on dit, je trouve qu’il est préférable que ce soit les communes et les cantons qui financent les TP. Le prix serait trop élevé s’il devait être intégralement prix en charge par les usagers. Quand à la Confédération (et dans une moindre mesure le canton), il est facile pour elle de fermer telle ou telle ligne, ou tel ou tel arrêt, qui ne représente pour elle qu’un point sur une carte.

    Les communes devraient donc avoir un gros budget TP et je trouve cela normal. Ce qui n’est pas normal c’est que, dans un pays soi-disant fédéraliste, on fasse financer les transports urbains par la Confédération – c’est une centralisation qui ralentit tout et qui est malsaine. Rappelons au passage que c’est le canton de Vaud qui a sauvé l’ASD. l’AOMC et le NStCM du démantèlement décidé à Berne dans les années 1970.

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