Ligne nouvelle Genève–Lausanne: nouveau projet via une gare Hautes Ecoles

Grand soleilLes bureaux d’étude 6t-bureau et Alius consulting, déjà auteurs d’une pénétrante Nyon–Annecy via Gex, aéroport de Cointrin et Saint-Julien, imaginent aujourd’hui un tracé innovant pour la ligne nouvelle Genève–Lausanne, combinant cette pénétrante avec la direttissima Morges–Lausanne via une gare Hautes Ecoles desservant l’Ecole polytechnique fédérale et l’Université de Lausanne. La citrap-vaud, qui oeuvre depuis 2016 pour l’aménagement de la direttissima, se réjouit de cette proposition, tout en attendant avec impatience les résultats de l’étude de l’Etat de Vaud menée sur ce même périmètre dans le cadre de sa Vision 2050. Plus de détails dans Le Temps du 30 novembre 2023 sous la plume de Raphaël Jotterand (carte 6t-bureau/Alias consulting) et dans 24 heures du 22 janvier 2024 sous la plume d’Yves Merz.

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3 réflexions sur « Ligne nouvelle Genève–Lausanne: nouveau projet via une gare Hautes Ecoles »

  1. Ce ne sont globalement que des bonnes idées, mais alors, chaque arrêt devrait être muni de 4 voies, 2 voies d’arrêt à quai et deux voies de dépassement pour les trains Lausanne-Genève sans arrêt. Ceci pourrait limiter la vitesse maximum.

    Pour une vraie redondance, il faudrait des contournements de Nyon et de Morges (ici on nous propose une convergence de deux tracés différents en ces gares).

    Il faudrait en profiter pour faire une reconstruction du chemin de fer Divonne-Gex-Bellegarde qui est abandonné mais toujours partiellement sur place.

  2. 1) Oui, c’est le moment ou jamais de faire des propositions inédites pour une ligne Lausanne-Genève ! Celle-ci est originale et mérite d’être étudiée, mais est-ce la bonne ?
    2) Bien que le temps presse, il faut étudier toutes les variantes, puis définir une solution globale, et enfin la réaliser dans les meilleurs délais. Mais éviter de construire une solution partielle (Morges-Perroy) qui fige déjà une partie du projet.
    3) Pourquoi, Jonathan, dis-tu « Divonne-Gex-Bellegarde », et pas « Nyon-Divonne-Gex-Bellegarde » ? Par ce que nous avons honte d’avoir fermé, sur ce trajet frontalier, la partie suisse avant la française ?

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