Renaissance de la ligne Lausanne–Berne?

Grand soleilLausanne–Berne: un tronçon CFF capital, mais trop lent. Depuis Berne, un train met 66 minutes au minimum pour rejoindre Lausanne. Alors, quelles solutions? D’abord augmenter la vitesse. Aujourd’hui, un convoi roule à 95 km/h entre Lausanne et Berne, mais à 175 km/h entre Berne et Zurich. Le conseiller aux Etats Olivier Français a déjà proposé plusieurs variantes pour combler ce retard. Puis la valorisation de la ligne de la Broye et le percement d’un tunnel jusqu’à Vauderens ou Châtillens, pour éviter le détour par Puidoux (voir infographie). Dossier complet dans Le Matin Dimanche du 24 mars 2019, sous la plume de Dominique Botti (infographie ARC Jean-Bernard Sieber, Florian Cella).

4 réflexions sur « Renaissance de la ligne Lausanne–Berne? »

  1. Excellente nouvelle, mais souhaitons que le trafic régional soit maintenu, et même restauré, en ce qui concerne Oron, Vauderens et Siviriez, sur la ligne existante !

  2. Le gain de 10 minutes de la variante 3 n’est-il pas déjà atteint pas les nouveaux trains pendulaires à 2 étages ?

    • Les nouveaux trains Bombardier sont prévus pour gagner 6 minutes entre Lausanne et Berne, si le dispositif antiroulis s’avère convaincant…

      • Sans compter que ces trains pendulaires ont tendance à rendre certaines personnes malades (j’en fais partie…).

        En ce qui me conerne il faut alors absolument s’assoir côté couloir et dans le sens contraire de la marche afin de supporter ce mouvement, ce qui diminue le nombre de places assises par 4.

        Je n’ai pas encore essayé mais je suppose qu’avec 2 étages c’est encore bien pire, le mouvement étant amplifié avec l’éloignement de l’axe de rotation.

        D’ailleurs rien que d’y penser je suis déjà presque malade !

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