«Le «contrat du siècle» signé en 2010 entre les CFF et Bombardier, pour un marché de près de 60 trains et 1 milliard de francs suisses, s’est inscrit dans ce contexte. Marché basé sur un contrat absolument blindé par les CFF dans les domaines juridique et commercial. Bombardier, alléché par le magot, accepte alors des pénalités drastiques dans tous les domaines, et prend de gros risques en matière technique, en offrant des trains très innovants mais complexes et qui, au moment de la signature, n’existent que sur le papier.» Suite de cette analyse par Pierre Guignard, ingénieur EPFL, et invité de 24 heures dans son édition du 23 mai 2019. Réactions de deux lecteurs dans 24 heures du 31 mai.
Rappelons que ce n’est pas parce que la commande de ces trains a en effet été un gâchis que leur exploitation, une fois qu’elle sera enfin possible, ne sera pas couronnée de succès. Il ne faut pas tout mélanger.