«La filiale de transport de fret plonge à nouveau dans les chiffres rouges. Huit cents emplois seront biffés d’ici à 2023, plus de 100 points de desserte seront réexaminés et le virage numérique sera pris». Suite de l’article dans Le Temps du 2 mars 2018, sous la plume de Bernard Wuthrich, dans un langage compréhensible pour le profane, au contraire du communiqué alambiqué des CFF daté du 1 mars.